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William Peres nous parle d’égalité des chances par la formation digitale

Bien entendu, et quelle qu’en soit la raison, nous n’avons pas tous le même parcours scolaire initial. En revanche, la volonté d’évoluer et l’épanouissement personnel tiennent souvent du contexte professionnel dans lequel nous évoluons. Ainsi, une entreprise qui permet à tous ses salariés de pouvoir se former régulièrement favorise un meilleur engagement et une appartenance plus forte à l’entreprise, contrairement à l’idée préconçue selon laquelle seul le salaire motive les collaborateurs.

En effet, même s’il demeure important, le salaire ne constitue pas l’unique motivation d’un salarié, loin de là. Comme le précise l’étude The Workforce View in Europe 2018 menée par Opinion Matters pour l’ADP, le Top 3 des facteurs de motivation seraient :

  1. L’intérêt des missions ;
  2. Le Développement des compétences / évolutions de carrière ;
  3. L’ambiance de travail.

Intéressons-nous au deuxième point : le développement des compétences.

S’il existe d’innombrables documents, articles, modules e-learning et autres vidéos explicatives pour développer les connaissances, les compétences, elles, s’acquièrent par la pratique et, plus précisément, en contexte.

En entreprise, les formations permettant d’acquérir des compétences se font rares. Jusqu’à peu, c’était l’apanage des formations en présentiel, avec ses sessions de travaux pratiques et ses jeux de rôles, mais depuis la crise sanitaire de la COVID-19, les dispositifs Blended Learning et le digital prennent de l’importance. Une opportunité dans l’adversité ?

Pour développer des soft skills par exemple, la logistique et les coûts de formation deviennent vite challengeants pour les responsables formations et les DRH, lorsque le présentiel est privilégié. C’est la raison pour laquelle, lorsqu’on analyse le fonctionnement de ce type de formations dans les entreprises, notamment en France, on se rend compte que bien souvent, ceux qui les suivent sont les cadres et les personnes ayant des responsabilités managériales.

Est-ce parce que les OPCO prennent en charge une part trop faible pour former tout le monde et les faire monter en compétences ? Est-ce parce que le nombre de personnes à former en entreprise est trop important pour assurer une logistique qui ne mobilise pas toute l’entreprise pendant cette période ? Sans doute un peu des deux.

Le fait est que l’entreprise se scinde alors en deux parties : ceux qui développent leurs soft skills (en haut de l’échelle hiérarchique) et les autres (la masse des salariés qui assurent bien souvent la majeure partie l’opérationnel de l’entreprise).

Le problème est que ceux qui suivent ces formations, environ 15% de la masse salariale, sont bien souvent ceux qui ont eu les parcours scolaires les plus complets et qui ont par la suite pu acquérir de nombreuses compétences, davantage que 85% du reste de l’entreprise. Le fossé se creuse donc chaque jour un peu plus en entreprise !

Développons ensemble les compétences de tous.

Si l’on s’intéresse à l’entreprise, il s’agit là d’un mauvais calcul. En effet, améliorer de 10% les compétences de 15% des salariés de l’entreprise, est sans doute moins pertinent que d’améliorer en même proportion celles des 85% restants. Un moyen efficace de transformer l’entreprise afin de former tout le monde est de faire appel aux meilleures solutions digitales en fonction des besoins.

Commençons par le début. Lorsque les chercheurs de Microsoft ont établi leur roue des compétences en 2006, ils ont regroupé en six catégories dans un référentiel les compétences à acquérir lors de la scolarité :

  1. Les compétences intrinsèques de l’individu ;
  2. Le relationnel ;
  3. Les compétences opérationnelles ;
  4. Les compétences stratégiques ;
  5. Les compétences organisationnelles ;
  6. La gestion des résultats.

En entreprise, ces compétences scolaires se traduisent un peu différemment. En 2018, Pôle Emploi publiait son baromètre des compétences comportementales les plus attendues par les employeurs :

Source

Il paraît clair que toutes ces compétences s’acquièrent avec l’expérience, la pratique. Si l’on revient sur le point précédent établissant que 15% des salariés en entreprise améliorent leurs compétences en ayant accès à ce type de formation, c’est l’employabilité des 85% restants qui est mise à mal.

C’est la raison pour laquelle de plus en plus d’entreprises se tournent vers des outils digitaux d’entraînement et d’acquisition de compétences, comme les simulations, les serious games et autres mises en situations réalistes. Certains vont même jusqu’à concevoir de véritables bilans de compétence virtuels afin d’identifier de nouveaux projets professionnels en vue de développer la mobilité interne, à l’instar de nos clients et partenaires Axomega-Care.

En effet, Florence Jary et Emmanuelle Gruia, fondatrices, ont su innover en proposant à leurs clients une approche “Psygitale” de leur offre grâce à VTS Editor, à savoir : des programmes d’assessment et de développement professionnel interactifs élaborés par des psychologues et des experts RH, et accompagnées par les meilleurs coachs professionnels du marché.

Ces programmes sont basés sur des simulations 3D accessibles à distance, permettant de créer des parcours de développement professionnel sur mesure en donnant à chacun le moyen d’identifier objectivement ses forces et ses axes de progression. Le Blended Learning à son meilleur.

En démocratisant ces usages, nous donnons la possibilité à tous de développer ses compétences. Nous réduisons ainsi la fracture sociale entre les différentes strates de l’entreprise en permettant aux moins visibles de s’épanouir et de sortir de l’ombre, nous favorisons l’employabilité de tous, et nous développons l’innovation, principal gage de réussite sur un marché international exigeant.

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